L'Union Professionnelle des Agences de Voyages existe depuis 1937. L'identité de l'UPAV a évolué au fil des années et des décades.
Aujourd'hui, l'Union poursuit cinq objectifs majeurs pour ses membres :
L'UPAV entend soutenir la profession et l'aider à se développer dans l'évolution naturelle de l'économie actuelle: nouvelles technologies, mondialisation, nouveaux acteurs.
Depuis le 1er juillet 2018, la loi du 21 novembre 2017 relative à la vente de voyages à forfait, de prestations de voyage liées et de services de voyages est d'application. Cette loi est la transposition de la directive européenne 2015/2302/UE visant toujours plus la protection du consommateur. Elle est la révision de la loi de 1994 régissant le secteur. Depuis, le monde du tourisme a fortement évolué.
Cette loi prévoit, entre autres, que tout acteur organisateur doive avoir souscrit à une assurance insolvabilité afin de couvrir ses clients en cas de faillite. L’organisateur a également des obligations d’information renforcées envers ses clients avant, pendant et après le voyage.
L’activité d’organisateur de voyage explose en Belgique car la licence – accès à la profession – n’est plus nécessaire en Flandres et en Wallonie. Elle l’est pourtant encore à Bruxelles. Tout un chacun, dans ces deux régions, peut donc organiser des voyages sans détenir une licence. La loi mentionnée ci-dessus cadre cependant les actions de ces nouveaux acteurs dans un but de protection des consommateurs.
Nous sommes l’Union Professionnelle des Agents de Voyage. Notre objectif est de former, informer et protéger nos membres et la profession. Nous travaillons également en étroite collaboration avec Test-Achat dont l’objectif principal est la protection des consommateurs.
Toute plainte venant du secteur soulevant un cas de concurrence déloyale – un organisateur de voyage n’appliquant pas les obligations légales – nous revient. Nous en étudions la requête et si nous la jugeons fondée, nous en référons au SPF Economie qui introduit alors rapidement une enquête via sa cellule plainte prévue à cet effet.
Toute plainte venant du secteur concernant la mauvaise application de la TVA fait l'objet d'une étude préalable suivie, si nécessaire d'une demande au SPF Finance qui introduit également un enquête.
Avant d'introduire une telle requête, l'UPAV se renseigne et étudie le dossier car il existe aussi des plaintes non fondées.
Attention: l'UPAV n'obtient pas d'information auprès de ces deux instances avant que les dossiers ne soient clôturés. Cependant, un échange régulier permet de nous tenir au courant des affaires résolues. Nous partageons ces informations reçues avec nos membres.