Chers membres,

Suite au comité de concertation des non-décisions de la semaine dernière, nous avons écrit aux différents ministres, attendant des décisions et preuves objectives de leurs prises de position. Seul le secrétaire d’État en charge de la relance, monsieur Dermine, nous a répondu favorablement et proposé une rencontre rapide afin de discuter du plan de relance. En fonction des annonces de ce soir, nous relancerons, à nouveau, tant la ministre Verlinden (Intérieur) que les ministres Dermagne, Wilmes, et De Croo.

Au niveau régional, le ministre Borsus n’a su nous donner les réponses espérées. Nous sommes toujours en attente des modalités et timing de l’aide numéro 13 liée aux « secteurs spéciaux » dont nous faisons partie. Les modalités des aides 10 et 11 ont été annoncées cette semaine. Quant à Bruxelles, la possibilité d’introduire son dossier pour l’aide Tetra est prévue pour fin mars. Nous leur avons, lors d’une entrevue cette semaine, demandé un budget à disposition des agences de voyages bruxelloises afin d’entrer pleinement dans l’aire de la digitalisation.

Nous avançons sur la campagne de communication ainsi que sur les formations que nous voulons vous présenter pour mieux rebondir.

Nous continuons à marquer de notre présence les différents médias.

Nous continuons à insister sur:

• la levée de l’interdiction de voyage au plus tard le 1^er avril.
• l’utilisation des tests rapides pour éviter la quarantaine à tout prix si test négatif.
• une différenciation entre les voyages de loisirs/à forfait vendus par des professionnels qui assurent une réelle sécurité et traçabilité.
• une position claire sur les voyages hors Shenghen vers des pays dont le taux de contaminations est moindre que chez nous.
• l’idée du digital green pass qui sera discutée au niveau européen le 17 mars. L’idée est très bonne, mais le timing nécessaire pour sa mise en place ne nous aide pas pour le court terme, il nous faut d’autres solutions.
• les aides inégalitaires entre les régions et non proportionnées par rapport aux besoins réels.