Notre objectif est d'obtenir une couverture de droit passerelle encore en novembre 2020 et les mois qui suivent, et ce, tant que le chiffre d’affaires de nos agences est au plancher. Le droit passerelle "de crise" vise actuellement la culture et l'évènementiel, ainsi que les bars depuis hier. Actuellement nous ne sommes pas repris. Le droit passerelle pour notre secteur est donc valable jusque fin octobre, mais les discussions sont encore en cours.
Ce que UCM (et Unizo également) demandent au nouveau ministre, c’est de régler la situation des indépendants en perte sévère de chiffre d’affaires comme c’est le cas pour notre secteur. Cela passe, soit par :
- un droit passerelle de soutien à la reprise qui touche les indépendants de tous secteurs qui subissent une baisse du chiffre d’affaires de -40% par rapport à la situation de 2019,
- la simple prolongation du droit passerelle de soutien à la reprise actuel (condition de 10%). Le ministre Clarinval a évoqué cette piste hier à la Chambre.
Nous avons une préférence pour la première option qui cible davantage les indépendants tels que ceux de notre secteur. Nous demandons que ce système prolongé démarre au plus tard à partir du 1er novembre 2020, pour assurer qu’il n’y a pas de trou dans la couverture.
UPAV-UCM rédigent une lettre dans ce sens à Mr. Clanrival dès lundi, Vice-Premier ministre et ministre du Budget et de la Fonction publique en y ajoutant une demande de l'exonération du précompte professionnel, tant pour les indépendants que pour les employés.
Nous rencontrons également les présidents de l'UCM et l'UWE la semaine prochaine pour présenter toutes nos demandes et introduire à nouveau nos dossiers auprès des différents ministres via ces fédérations, en parallèle à nos demandes en direct.
Nous vous tiendrons informés.
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